Shilo MM passe le questionnaire de Proust

Cinq minutes pour vingt neuf questions : Shilo bat tous les records mais ce serait un mauvais candidat à « Questions pour un champion » : il n’a répondu qu’à  8 interrogations sur 29.

• Principal défaut: la curiosité

Occupation préférée:  Lecture,  écriture
Ce qu’il voudrait  être:  Homme libre et heureux
Le pays où il désirerait  vivre:  « Le pays le meilleur du monde est chez soi » (donc le Congo pour lui et non la Russie où il vit en ce moment)
Ses  héros dans la vie réelle: Patrice Lumumba
Son nom favori:  Natacha (dit-il à voix basse 😉
Ce qu’il  déteste par-dessus tout:  Le mal
Sa devise:  Faire de son mieux pour toujours marcher droit !

• Aux  étapes qui suivent  il a répondu « je passe » :

Le principal trait de son caractère.
La qualité préférée chez une femme.
Rêve de bonheur.
Plus grand malheur.
Couleur qu’il préfère.
Fleur préférée.
L’oiseau préféré.
Auteurs favoris en prose.
Poètes préférés.
Héros dans la fiction.
Héroïnes favorites dans la fiction.
Compositeurs préférés.
Personnages historiques qu’il méprise le plus.
Le fait militaire qu’il admire le plus.
La réforme qu’il estime le plus.
Le don de la nature qu’il voudrait avoir.
Comment il aimerait  mourir.
État présent dans son esprit.
Fautes qui l’inspirent le plus d’indulgence.
Peintres favoris.
Héroïnes dans l’histoire

La 30ème question que j’ai fait exprès de ne pas  lui poser, c’est  “qu’est-ce qu’il apprécie le plus chez ses amis”.
J’ai eu le temps de le connaître et je vais répondre à sa place :
C’est un « Russe » qui déteste la vodka donc il n’appréciera pas que vous le forciez à boire. Ne perdez pas non plus votre temps à débattre politique avec lui, il vous battra à son jeu de «pourquoi ?».
Si le questionnaire de Proust était un truc pour se marrer, le vrai Shilo : un type sociable, qui connaît ses priorités mais qui déteste se mettre à la place de l’interviewé étant habitué à poser  les questions. Bref c’est un excellent ambassadeur de la jeunesse Kinoise et congolaise.

Shilo assis à gauche (par Simon Decreuze)